Quelques mois après avoir sorti Train Songs, un mini album de reprises (en écoute-ci-dessous) ayant pour thématique le moyen de transport mentionné dans le titre, Sylvia Hansel s’apprête à présenter un troisième roman.
On pensait 2020 totalement cataclysmique mais que nenni ! Cette annus n’est pas aussi horribilis qu’un virus venu de Chine centrale veut bien nous le faire croire. La preuve : Robin Proper-Sheppard aka Sophia livrera un nouveau long format dans quelques semaines, les Doves itou et, cerise sur le gâteux, Sylvia dévoilera le 20 août son adolescence seine-et-marnaise sur un peu plus de 300 pages.
Baptisé Cannonball – L’adolescence n’est pas une chanson douce, ce récit est le troisième – après Les adultes n’existent pas (2018) et Noël en février (2015) – écrit par l’auteure-compositrice mosellane, ainsi que le premier portant le nom d’une chanson de l’une de ses marottes : The Breeders.
Voici un extrait du résumé proposé par l’éditeur, Intervalles Editions : « Quand on s’appelle Sylvie, qu’on a 12 ans, qu’on vient de Moselle et qu’on échoue avec sa mère divorcée dans un village fleuri aux portes de Meaux, la navigation à vue au long des méandres de l’adolescence risque bien de ressembler à un naufrage ».
La couverture du roman est l’œuvre de Mathieu Persan, brillant illustrateur qui collabora récemment avec Benjamin Biolay, Divine Comedy ou encore Breaking The Wave.
Sylvia anime également un podcast, dont le dernier épisode est consacré à Love Song, une de ses chansons inspirée par Le parfum de Patrick Süskind.